Bien qu’elles soient reconnus comme une violation des droits humains, les mutilations sexuelles féminines existent toujours : selon l’UNICEF, au moins 230 millions de filles et de femmes dans le monde en ont été victimes. C’est le cas de Ramata, pour laquel ces mutilations ont eu des conséquences sur sa vie de femme et de mère. Aujourd’hui maman de trois enfants, elle est présidente de l’association « Excision parlons-en ! ». Voici son histoire.